Une femme présente dans les sextapes de Baltasar Engonga brise le silence

Baltasar Ebang Engonga n’est plus directeur de l’Agence nationale d’investigation financière, ANIF. C’est mercredi dernier que le président de la Guinée Équatoriale a publié un décret qui fait mention de la révocation du fonctionnaire à ce poste.

Pendant ce temps, la télévision nationale, TVGE, faisait des enquêtes sur les femmes présentes dans les sextapes les plus populaires du moment. Dans son reportage, la télévision d’État a publié les indignations d’une femme qui reconnait avoir été une amante de Baltasar Ebang Engonga.

« Je ne savais pas qu’il les publierait » : Baltasar Ebang Engonga s’attire les foudres d’une amante trahie

La femme qui a témoigné à la télévision nationale à visage flouté a déclaré qu’elle se sentait « humiliée » et « trahie ». En effet, elle ne savait pas que ses ébats intimes avec l’ex-directeur de l’ANIF seraient diffusés sur la toile.

« Je voudrais savoir d’où sortent ces vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux. Je voudrais savoir pourquoi il les conservait sans mon consentement » a-t-elle confié. Même si elle avoue avoir donné son accord, la femme qui en veut à Baltasar Ebang Engonga précise que ce dernier lui avait promis de supprimer les vidéos après visionnage.

Une déclaration qui infirme le plaidoyer de « Bello »

La femme qui a choisi de cacher son visage à la télévision nationale confirme plusieurs fois qu’elle a donné son accord à Baltasar Ebang Engonga pour enregistrer leurs ébats. Elle a d’ailleurs précisé que c’est pour cela qu’elle se sentait « trahie ». Le témoignage de l’une des stars des sextapes de Baltasar Ebang Engonga vient jeter le doute sur le sien.

Pour ainsi dire, il a assuré à la justice équato-guinéenne qu’il n’était ni l’auteur, ni l’acteur des sextapes. Même si son visage est clairement visible à chaque fois, Bello affirme mordicus qu’il s’agit d’un coup monté. En attendant les témoignages des autres amantes, ce dernier est détenu à la prison Black Beach de Malabo.