Sierra Leone : Vous ne devinerez jamais ce que la justice populaire a fait à ce voleur

En Afrique, les voleurs savent qu’il vaut mieux ne pas se faire attraper par la justice populaire. Souvent, lorsqu’on attrape un bandit en flagrant délit de vol, il fait souvent l’objet d’une bastonnade sans précédent.

En effet, les habitants des quartiers ne se gênent pas pour appeler la police qui apparait généralement comme salvatrice. C’est à peu près ce qui s’est passé hier en Sierra Leone où un voleura été attrapé à Dwarzak-Freetown.

Ce dernier a été appréhendé par des gentilés alors qu’il tentait de s’introduire dans un domicile pour y commettre son larcin. Malheureusement pour lui, les choses ne se sont pas déroulées comme prévu.

Un voleur qui danse bien, très bien même, l’amapiano

Notre voleur du quartier n’avait pas commencé à dévaliser la maison que les gentilés du quartier Dwarzak-Freetown ont mis la main sur lui. Au lieu de le rosser comme d’habitude, la population lui a demandé de choisir entre la bastonnade et la danse.

Notre voleur a choisi de danser. Plus encore, il a même choisi les morceaux sur lesquels il voulait danser. En effet, notre bandit des petits chemins a choisi un morceau de Burna Boy et un morceau d’Asake. Shakur et autres pas de danse, notre larron avait de la ressource.

Pour ainsi dire, on aurait même pensé qu’il prenait plaisir à danser pieds nus et à secouer son crane rasé. Cependant, les habitants du quartier Dwarzak-Freetown ont failli perdre patience lorsque les pas de danse se faisaient moins fantaisistes. Heureusement pour notre voleur danseur, la justice populaire de ce quartier de la Sierra Léone l’a libéré après ce petit concert sous-pression.