J. Remy Ngono : les révélations sur la mort de Cabrel Nanjip Nyamton

Il semblerait que ce que nous pensions être un « accident », n’en était pas un… Newstoiries Africa fait le point sur certaines des révélations criardes sur la mort de Cabrel Nanjip Nyamton.

Tout le monde a été contraint de faire face à cette horrible nouvelle pendant plusieurs heures, mais les fans en particulier. Cabrel Nanjip Nyamton, cet illustre et talentueux humoriste camerounais nous a quittés, et bien trop tôt pour le coup.

Cabrel Nanjip est décédé, laissant derrière lui sa famille nucléaire ainsi que sa famille professionnelle, aussi choquante que cette nouvelle puisse paraître. Un grave accident de la route a coûté la vie à cette célébrité.

Le journaliste J. Remy Ngono analyse et fait des révélations sur la mort de Cabrel Nanjip Nyamton

Entré en collision avec un camion, le véhicule de l’influenceur comique s’est vu projeté contre un arbuste, brisant ainsi le pare-brise de la voiture. Après quoi, il est décédé.

Rémy Ngono, journaliste, a examiné la collision sous toutes ses coutures. « Les auteurs de la mort de Cabrel Nanjip, Biya et Fru Ndi, zomlo’o et Owona, Eto’o… « , tel est le titre du communiqué du consultant de Radio France Internationale (RFI).

En réaction aux révélations de Rémy Ngono quant à la mort de Cabrel Nanjip, une internaute sentimentale a commenté en affirmant que Feu John Magufuli de Tanzanie est un excellent exemple de président africain. Il n’a utilisé que l’argent du contribuable pour construire sa nation. Les gens qui suivent Zack Mwekassa le savent.

Elle a poursuivi en affirmant que les actions de Sankara ont été reproduites par John Magufuli. Il n’avait pas besoin d’aide étrangère, toutes les réponses devaient venir du peuple. Il a refusé tous les avantages qu’il jugeait inutiles et excessivement coûteux.

D’après cette dernière, celui-ci n’a jamais effectué de voyage à l’étranger aux frais des contribuables, car cela aurait été excessivement coûteux. Il est inacceptable de gaspiller l’argent des contribuables. Il était conscient du véritable objectif de son travail. J’aurai toujours la plus grande estime pour lui, car c’était un homme formidable.