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« Les femmes d’ici » (NCI) : L’enseignement général n’attire plus

Les Femmes d'Ici (NCI) parlent de l'enseignement général en Côte d'Ivoire. Un enseignement qui n'est plus aussi populaire qu'avant.

Natacha Fouda
🕓 Modifié le
« Les femmes d'ici » (NCI) : L'enseignement général n'attire plus
Résumé de l'article

👉🏾 Les Femmes d’Ici parlent du problème de l’enseignement général.

👉🏾 L’école ne fait plus ses preuves.

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Ce soir, Les Femmes d’Ici (NCI) parlent d’une réalité de plus en plus visible en Côte d’Ivoire. En effet, de plus en plus d’élèves fuient l’enseignement général qui, pour beaucoup, ne fait plus ses preuves.

Pour ainsi dire, de nombreux étudiants se plaignent du chômage après le cursus de l’enseignement général. Pour de nombreux parents, il est plus important que leurs enfants apprennent des métiers au lieu de mettre long à l’école.

Pour cause, le chômage est souvent ce qui les attend à la fin du long cursus universitaire. Pour parler de cette thématique, Les Femmes d’Ici (NCI) ont invité des personnes aux parcours scolaires différents sur le plateau.

Les Femmes d’Ici (NCI) parlent de l’enseignement général

Kadhy Touré, Yasmine Reda et Deeja reçoivent aujourd’hui Yao Kouadio pour débattre de l’enseignement général en Côte d’Ivoire. Yao Kouadio est un étudiant en cycle doctorat en philosophie.

Selon lui, le « système scolaire ivoirien est une perte de temps ». Pour le jeune rédacteur web, la finalité première de l’école est censée être le travail.

À cet effet, le fait de faire l’université est une véritable « condamnation ». De plus, l’expérience professionnelle est ce qui fait défaut dans l’enseignement général.

« Les femmes d'ici » (NCI) : L'enseignement général n'attire plus
Facebook/YasmineReda/capture_vidéo

« J’ai appris la mécanique à l’âge de 15 ans »

L’un des invités des Femmes d’Ici (NCI) est Issouf Bamba, un mécanicien. Le mécanicien dit avoir appris la mécanique « à l’âge de 15 ans ». Pour cause, il a abandonné l’école pour se concentrer à la mécanique.

« Un jour, je sortais de l’école coranique, et j’ai vu des petits de mon âge s’occuper de voitures. C’est ce jour que j’ai eu le déclic. Ce jour-là, j’ai su que je voulais faire la mécanique » Déclare Issouf. Depuis ce jour, il sait ce qu’il veut faire dans sa vie.

Heureusement pour lui, ses parents se sont montrés plutôt compréhensifs et l’ont aidé dans sa lancée. Pour Issouf, l’intelligence ne se trouve pas à l’école. À cet effet, il a pu travailler et gravir les échelons dans son domaine. Actuellement, il fait partie des mécaniciens les plus huppés de la Côte d’Ivoire.

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À propos de l'auteur, Natacha Fouda

Passionnée de lecture, de média et de bandes dessinées. Je me suis découverte une autre passion pour l’écriture.