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« Les femmes d’ici » (NCI) : Grossesse en milieu scolaire

Kadhy Touré et Les Femmes d'Ici sont réunies autour d'une thématique qui se répand de plus en plus : la grossesse en milieu scolaire.

Natacha Fouda
🕓 Modifié le
« Les femmes d'ici » (NCI) : Grossesse en milieu scolaire
Résumé de l'article

👉🏾 Les Femmes d’Ici parlent de la grossesse en milieu scolaire sur NCI.

👉🏾 La grossesse en milieu scolaire reste un tabou.

👉🏾 L’abstinence reste le meilleur conseil à donner aux enfants et aux adolescents.

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Sur NCI, Les Femmes d’Ici se sont réunies une fois de plus pour parler de la grossesse en milieu scolaire. En effet, les grossesses sont de plus en plus fréquentes en milieu scolaire.

Que ce soit à l’école primaire ou au lycée, de nombreuses filles sont confrontées à ce genre de problèmes. D’après le ministère de l’Éducation ivoirien, plus de 5 800 cas ont été enregistrés en Côte d’Ivoire.

Parlant de ça, Les Femmes d’Ici ont invité des invités sur NCI pour parler du problème épineux de la grossesse en milieu scolaire. Kadhy Touré, Deeja, Yasmine Reda et Aurélie Éliam sont réunies autour d’un sujet brulant.

La grossesse en milieu scolaire est souvent taboue : Solange Yomi en parle avec Les Femmes d’Ici (NCI)

« Les femmes d'ici » (NCI) : Grossesse en milieu scolaire
Facebook/Yasmine_Reda/capture_video

Solange Yomi est présidente d’une ONG qui lutte contre le phénomène de la grossesse en milieu scolaire. En effet, elle a donné son avis sur Les Femmes d’Ici. Le cas de grossesse en milieu scolaire est tabou dans notre société.

À cet effet, elle déclare : « La plupart cachent les grossesses de leurs enfants. Cela nous fait penser qu’il y aurait plus de cas que ceux que le ministère a énuméré ».
Beaucoup de parents qui se veulent traditionalistes cachent les grossesses de leurs enfants pour éviter de salir leur nom.

Des solutions pour éviter ce désagrément

Solange Yomi conseille la communication aux parents. Pour elles, beaucoup de parents auraient « démissionné ».

Elles pensent qu’il faudrait causer avec les adolescents en ce qui concerne la sexualité. « Notre ONG œuvre pour la communication sur la sexualité. Cela ne dravait plus être un tabou dans notre pays » affirme-t-elle.

Effectivement, elle pense que communiquer avec les enfants peut aider à éviter les désagréments liés aux grossesses qui surviennent pendant la scolarité. Par ailleurs, elle déconseille la propagande des moyens de contraception.

Selon la présidente d’ONG, parler de contraceptions aux enfants serait leur donner une « échappatoire. Encore pire, une porte de sortie ». À ce propos, elle déclare qu’il vaut « mieux conseiller l’abstinence aux enfants que de leur donner l’échappatoire de la contraception ».

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À propos de l'auteur, Natacha Fouda

Passionnée de lecture, de média et de bandes dessinées. Je me suis découverte une autre passion pour l’écriture.