Accueil > People > Influenceur

La justice américaine rejette la demande de libération sous caution de l’influenceuse Hajia4Reall

Assignée à domiccile aux États-Unis, l'influenceuse Hajia4Reall ne pourra définitivement pas avoir droit à une libération sous caution.

Yvan Tounssi Ndjock
🕓 Modifié le
La justice américaine rejette la demande de libération sous caution de l'influenceuse Hajia4Reall
Résumé de l'article

👉🏾 Hajia4Reall a demandé une libération sous caution en attendant son procès.

👉🏾 Le ministère américain de la Justice a rejeté la requête de l’influenceuse, craignant qu’elle ne s’échappe.

Afficher le sommaire Masquer le sommaire

Les nouvelles ne sont pas bonnes pour l’influenceuse d’origine ghanéenne Mona Faiz Montrage, plus connue sous le nom de Hajia4Reall. En effet, la jeune femme s’est vue refuser la libération sous caution. Gardée en assignation à domicile sur le territoire américain, cette dernière risque rester derrière les barreaux jusqu’à son procès.

Et pour cause, l’influenceuse est accusée de faire partie d’un large réseau d’arnaqueurs. Selon certaines plaintes déposées contre Hajia4Reall, elle aurait extorqué une somme de plus de 2 000 000 $ à des citoyens américains d’âges avancés.

Le tribunal de New York conteste la libération sous caution de Hajia4Reall

La justice américaine rejette la demande de libération sous caution de l'influenceuse Hajia4Reall
Instagram @hajia4reall

Interpellée à Londres pour escroquerie, Hajia4Reall avait finalement été extradée aux USA où elle faisait l’objet de nombreuses plaintes. L’influenceuse a récemment fait part à sa communauté Instagram qu’elle retrouvera très bientôt sa terre natale, le Ghana. Cependant, on apprenait il y a quelques heures que la justice américaine a refusé la libération sous caution de l’artiste Hajia4Reall.

D’après l’homme de presse Kofi Adoma, Damian Williams, le procureur en charge de l’affaire a montré des papiers attestant que l’influenceuse n’était pas en règle avec les conditions de libération établies par la loi américaine. Selon ce dernier, elle aurait adressé une requête dans laquelle elle souhaitait avoir le droit de se mouvoir dans certaines zones de New York, bien sûr en étant assignée à domicile.

Par ailleurs, cette demande ne saurait être acceptée dans la mesure où elle aurait de la famille aux États-Unis. S’appuyant sur les preuves incriminant Hajia4Reall, sa libération sous caution pourrait aller en l’encontre de l’article 3142-G. Pour cause, ce dernier lui donnerait ainsi la possibilité de s’évader dans la nature. Selon Damian Williams, elle pourrait écoper d’une peine allant de quatre à sept ans d’emprisonnement.

Restez à l'affut
Suivez-nous sur Google News

À propos de l'auteur, Yvan Tounssi Ndjock

Passionné de dessin, de voyage et des sciences m’ont permis de m’ouvrir au monde. Je me suis laissé emporter par l'écriture qui est une activité très passionnante et pleine de découvertes extraordinaires.