Clito*ris chez un serpent femelle : les scientifiques font une découverte des plus insolites

Contrairement aux idées reçues, des scientifiques ont enfin montré que les serpents ont un clito*ris. Une équipe internationale de scientifiques a découvert que les serpents ont un double clitoris en forme de cœur. Cela réfute l’hypothèse largement répandue selon laquelle ils n’avaient pas ces organes génitaux.

L’étude, qui a utilisé cinq espèces de serpents, a été dirigée par la chercheuse Megan Folwell du Département des sciences biologiques de l’Université d’Adélaïde, en Australie. Cette étude, non moins importante, permettra de poser un nouveau regard sur ces animaux dont le mode semble inintéressant.

Des serpents triés sur le volet

Pour décrire plus précisément l’anatomie des serpents femelles, Folwell et un groupe international de scientifiques ont examiné des femelles adultes. Les spécimens étaient de neuf espèces de serpents qu’on retrouve principalement en Afrique, en Amérique et en Australie.

Les espèces étudiées étaient : l’Acanthophis antarcticus, encore appelée vipère de la mort ; le Bitis arietans ou vipère heurtante; le Pseudechis colleti ; le Pseudechis weigeli ; le Pseudonaja ingrami ; le Agkistrodon bilineatus ; l’Helicops polylepis ; Lampropeltis anormale ou encore serpent roi et le Morelia spilota ou python tapis. 

À la recherche du fameux clito*ris de la femelle serpent

Des études antérieures ont confondu le clito*ris du serpent avec des glandes olfactives ou une version sous-développée du pénis. Une récente étude menée par des chercheurs américains a réussi à prouver que les serpents femelles n’ont pas un, mais un clito*ris double et cordiforme. Cet organe à la forme assez inhabituel est situé dans la peau sous la queue.

D’après Meagan Folwell, toutes les femelles des espèces animales seraient dotées de clito*ris. En effet, elle déclare : « Je sais que cet organe (le clito*ris) est présent chez de nombreux animaux, mais cela n’a pas de sens qu’il ne soit pas présent chez tous les serpents ». Les fans de biologie espèrent que cette découverte aidera à faire évoluer l’humanité.