Roseline Layo reconnue fautive dans l’affaire de plagiat du titre Môgô Fariman par le BURIDA
Du nouveau dans l'affaire de plagiat impliquant Roseline Layo, l'artiste a été reconnue coupable par le BURIDA.
👉🏾 Roseline Layo est accusée de plagiat depuis la sortie de Môgô Fariman.
👉🏾 Le BURIDA tranche l’affaire et reconnait l’artiste comme étant coupable.
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Depuis plusieurs jours déjà, la chanteuse ivoirienne est impliquée dans un scandale lié à la sortie de son nouveau titre intitulé Môgo Fariman. En effet, Roseline Layo a finale été reconnue coupable de plagiat par le président de la Commission musicale du BURIDA.
L’auteure du titre à succès Donnez Nous Un Peu est accusée d’avoir copié les paroles d’un des morceaux de l’artiste Affou Keita. Selon le BURIDA, Affou Keita a amplement raison et reconnait la culpabilité de Roseline Layo pour avoir utiliser des éléments du titre Coucou sans accord de sa collègue. Cette décision mettra définitivement fin à la controverse qui secoue les réseaux sociaux.
« L’auteur-compositeur reçoit ses droits… »
Au cours d’un entretien avec une télévision ivoirienne, Affou Keita exprimait son désagrément causé par Roseline Layo. Si l’on en croit ses dires, Môgô Fariman est quasiment la copie conforme de certaines paroles de son morceau. Ces déclarations ont suscité de vives réactions des fans des deux célébrités sur la toile.
Afin de stopper la polémique, Diabo Steck, le président de la Commission musicale du Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur (BURIDA) est sorti du silence. Ainsi le BURIDA confirme la culpabilité de Roseline Layo dans l’affaire de plagiat avec la chanson Môgô Fariman. En effet, selon lui, une fois qu’un morceau est déclaré, les droits d’auteurs reviennent à l’auteur-compositeur et d’autres ayants droits, tel que l’arrangeur.
« Dans cette déclaration, plusieurs ayants droit sont bénéficiaires, au nombre desquels l’arrangeur. Si un autre artiste vient à reprendre la chanson dans son intégralité avec les paroles, la mélodie et l’orchestration, les droits sont distribués entre les ayants droit. Si ce sont seulement les paroles qui sont reprises, l’auteur-compositeur reçoit ses droits. Si c’est l’orchestration seule sans les paroles et la mélodie, l’arrangeur a ses droits », expliquait Diabo Steck.
À propos de l'auteur, Yvan Tounssi Ndjock
Passionné de dessin, de voyage et des sciences m’ont permis de m’ouvrir au monde. Je me suis laissé emporter par l'écriture qui est une activité très passionnante et pleine de découvertes extraordinaires.