L’arnacœur de New-York : cet épisode de Kongossa Lounge qui fait vibrer la toile

Kongossa Lounge est une série comique présentée sur canal +Pop. La série fait partie des programmes les plus regardés de la chaine. Pour cause, c’est un programme comique, à la limite hilarant. En effet, les fans adorent le mélange de comédiens camerounais, congolais et ivoiriens qui donne à la série une autre dimension. Bien que les épisodes soient très appréciés des fans, il y en a un qui a réussi à sortir du lot. L’épisode de « l’arnacœur de New-York« , une comédie Kongossa Lounge très hilarante.

L’arnacœur du Kongossa Lounge

Dans cet épisode de Kongossa Lounge, Norma est folle amoureuse d’un homme. Cet homme est un Américain résident aux États-Unis. Elle est tellement éprise de son nouveau petit ami qu’elle parle de ce dernier à son amie Prissy.

Cependant, cette dernière doute de l’honnêteté de cet « américain« . Sans aucun état d’âme, « l’américain » demandait déjà de l’argent à Norma pour le deuil de sa mère. Après avoir collecté des preuves du mensonge du jeune homme, elle va demander à Norma de passer un appel vidéo.

Pendant l’appel, Prissy remarque le fait que le jeune homme parle plutôt bien le français pour un Américain. Ce dernier ne va pas hésiter à feindre qu’il ne comprend pas du tout le français. Ensuite, l’« américain » va encore demander de l’argent à Norma pour l’enterrement de sa mère.

Heureusement pour elle, la mascarade va prendre fin lorsque quelqu’un cogne à la porte en criant : « Johnny ouvre la porte !« . Norma surprise, n’hésite pas à demander à son petit ami qui est ce « Johnny » à qui on demande d’ouvrir la porte, et ce, en français.

Quelques secondes plus tard, un policier entre la chambre du jeune homme et lui passe les menottes en disant : « Johnny l’Abobolais, au nom de l’état ivoirien, je vous arrête ». Motif de l’arrestation, il aurait tué sa mère dans l’espoir de recevoir de l’argent pour son enterrement.

Celle qui pensait avoir trouvé son millionnaire s’est rendue compte qu’elle était en face d’un brouteur. Heureusement pour elle, son argent n’avait pas encore fait le voyage pour les U.S.A ou plutôt Abobo.

Comme quoi, il n’y a pas de crime parfait. Par ailleurs, cette comédie illustre à merveille les réalités du monde dans lequel nous vivons. Un monde en proie à la gourmandise et à la cupidité.