Il offre 350 000 N à un commerçant

Moses Eteng, un marchand ambulant d’Uyo, dans l’État d’Akwa Ibom, a reçu un soutien financier de 350 000 N d’un conférencier américain, comme ce fut le cas au Cameroun avec la Croqueuse de diamant.

Eteng a déclaré que c’était la première fois qu’il recevait un soutien de qui que ce soit.

Moses Eteng est un marchand ambulant célèbre à Uyo, dont le style vestimentaire unique le fait remarquer des clients.

Son sens du style est le principal atout

Il s’habille proprement avec un costume et une cravate chaque fois qu’il sort pour exercer son métier. Ce style l’a attiré vers un conférencier américain, Obasesam Okoi, professeur adjoint d’études sur la justice et la paix à l’université de Saint-Thomas, dans le Minnesota, qui est tombé sur ses photos sur les médias sociaux.

Eteng porte un plateau soigneusement empilé avec des agidi, qui, selon lui, valent environ 20 000 N et se vendent à 100 N l’unité.

Premium Times rapporte qu’Okoi a été attiré par Moses Eteng en raison de son sens de l’habillement et de sa créativité lorsqu’il vendait son commerce.

Okoi a déclaré qu’il a immédiatement pensé qu’il pourrait aider Eteng à développer son entreprise lorsqu’il l’a vu.

Selon les rapports, Obasesam Okoi a été impressionné lorsqu’il a offert l’argent à Eteng, et Eteng a dit qu’il préférait que ce soit un prêt plutôt que de l’argent gratuit.

Eteng a l’intention de continuer à vendre à la sauvette malgré le don d’argent

M. Okoi a déclaré que cela l’avait convaincu qu’Eteng avait le sens des responsabilités et de l’obligation de rendre des comptes.

Moses Eteng a dit qu’il préférait que l’argent lui soit prêté pour l’obliger à travailler plus dur pour le rembourser.

Obasesam Okoi a finalement versé l’argent sur le compte d’Eteng comme un cadeau et non comme un prêt.

Eteng a déclaré qu’il utiliserait l’argent pour installer un kiosque dans un endroit bien situé et accessible à ses clients, mais qu’il continuerait à vendre son produit à la sauvette.

Moses Eteng fabrique actuellement entre 300 et 350 emballages d’agidi par jour et souhaite le conserver jusqu’à ce qu’il constate une augmentation de la demande.