Le camerounais Édouard Patrick Junior Onana invente le premier cachet infalsifiable au monde

Il s’appelle Édouard Patrick Junior Onana. C’est le fer de lance du développement du premier tampon à cachet infalsifiable au monde. Le dire ainsi pourrait paraître prétentieux, mais loin de nous les propos fallacieux. Son invention ne cesse de faire ses preuves dans force secteurs où il est sollicité. Il s’agit donc d’une innovation majeure, dans la lutte contre la fraude et la falsification documentaire.

Édouard Patrick Junior Onana, qui maîtrise parfaitement l’historique des tampons à cachet, a très vite décelé les failles que présentent ceux-ci en matière de sécurité. Des failles qu’il endigue au moyen de son cachet infalsifiable. « Depuis la création des premiers cachets, les techniques de fraudes ont tellement évolué. Cependant, les cachets en eux-mêmes ont gardé leur technique d’utilisation. » Et d’ajouter : « l’accès public de ces cachets a également créé des failles de sécurité », fait savoir Édouard Patrick Junior Onana.

Quatre niveaux de sécurité renforcent le caractère infalsifiable du tampon révolutionnaire d’Édouard Patrick Junior Onana. « Le cachet infalsifiable vient marquer comme le cachet de sécurité une rupture à travers la sécurité visible et invisible. De plus, il va plus loin en apportant des sécurités de cryptographie les plus avancées. Le cachet infalsifiable propose ensuite une sécurité fiduciaire. Enfin, notre produit apporte une sécurité biométrique et calligraphique qui sont des éléments uniques au détenteur. »

Conscient de l’évolution exponentielle de la technologie, le cachet infalsifiable évoluera toujours avec les innovations technologiques de son époque. « Au fil du temps, les meilleures sécurités seront appliquées dans le cachet infalsifiable. Les meilleurs moyens de sécurité biométrique, calligraphique, fiduciaire et cryptographique seront incorporés dans notre produit, ce qui le rendra toujours infalsifiable ».

Édouard Patrick Junior Onana : « Le cachet infalsifiable n’est pas ouvert à tous. »

L’objectif d’Édouard Patrick Junior Onana n’est pas de démocratiser le cachet infalsifiable, mais de résoudre une problématique précise. « Le meilleur moyen de lutter contre la fraude documentaire est de rester dissimulé. » Avant d’ajouter : « On ne retombera pas dans les mêmes erreurs. Le fait de vulgariser notre produit risque de créer des failles de sécurité. »

Le cachet infalsifiable que propose le compatriote de Francis Ngannou n’est donc pas un produit à la portée de tous. II se décline comme un outil de performance qui vient régler des problèmes de fraude « pour des personnalités honorifiques, les institutions visées de par leur aura administrative et financière ».

Il convient également de faire mention que le cachet infalsifiable est largement sollicité sur le plan académique, notamment dans la création des diplômes.

Pour rappel, le cachet infalsifiable se présente sous quatre versions. La version Essential qui possède trois niveaux de sécurité. Ensuite, la version Business qui renferme quatre niveaux de sécurité. La version Exécutive avec six niveaux de sécurité. Enfin, la version Absolue, plus complète et proposant neuf niveaux de sécurité.