Tayc accusé de faire la promotion du viol conjugal dans son titre “Quand tu dors”, l’artiste répond

Pour célébrer l’amour en chanson, Tayc a réservé la sortie de son nouvel album à ses fans, mais dans la foulée, son titre “quand tu dors” n’a pas été bien accueilli. Le chanteur de 26 ans était pourtant très excité à l’idée que ses fans découvrent son nouveau bébé intitulé « Room 96 ». Un album de 10 titres très attendu par ses fans.

Seulement, parmi ces pépites, « Quand tu dors » a créé la controverse. Plusieurs personne accusent Tayc de faire l’apologie du viol conjugal dans le titre. “Je rentre du boulot, toi, tu dors déjà. Et plutôt que de te réveiller, je… Ah et puis laisse tomber (…) Tes lèvres sont fermées, mais j’entends ton appel (…). Je dois te consommer.”, telles ont été les paroles de la chanson. Très perturbé par les différentes réactions, Tayc a fait un communiqué.

Tayc s’excuse auprès de sa communauté

De nombreux internautes ont réagi aux paroles de la chanson sur Twitter. Certains ont imploré le chanteur à supprimer le son : « Tayc supprime « quand tu dors » (…) Pourquoi tu romantises le viol comme ça ? ». Quelques heures plus tard, le chanteur a fait quelques mises au point sur l’émotion qu’il voulait renvoyer. « C’est un couple. Cette femme dort. Son homme rentre, la voit, la réveille, et décide d’embellir leur nuit », a justifié Tayc sur Twitter avant de supprimer le post.

Alors que les consommateurs de Tayc restaient stoïques sur leurs positions, le chanteur a réjoui les cœurs des fans déçus en faisant une annonce sur Instagram. « La chanson « Quand tu dors » fait grand débat. Raison pour laquelle je l’ai retirée temporairement », a-t-il déclaré. « Néanmoins, cette chanson reste musicalement parlant ma préférée du projet, alors je vais la réécrire comme il se doit, pour moi, pour nous, et pour qu’elle soit bien mieux comprise de tous », a-t-il finalement conclu. Une conclusion pleine d’humilité et de bon sens. Espérons que le thème de la nouvelle version coïncide avec l’éthique de sa communauté.