« Quand vous lirez ceci, je serai déjà morte » : Brenda Biya se serait-elle suicidée ?

La toile est en liesse depuis qu’une capture d’écran laisse penser que Brenda Biya s’est suicidée. La fille du orésident camerounais fait une fois de plus la une des tabloids. En effet, de nombreux commentaires pullulent déjà sur X.

Entre un message qui ressemble à une lettre d’Adieu et sa dernière story Instagram, tout laisse à penser qu’elle a commis l’irréparable.

Entre des messages comme : « Tout le monde s’est ligué contre moi pour m’écraser », tout laisse penser que Brenda Biya s’est suicidée. D’ailleurs, le message qu’elle a partagé il y a quelques heures laisse très peu de place au doute.

« J’aurais aimé vivre plus pour moi-même » : Brenda Biya se serait suicidée il y a quelques heures

Brenda Biya a partagé un message qui ressemble à une lettre d’adieu et qui laisse penser qu’elle s’est suicidée. En effet, la fille du président camerouanis a commencé sa lettre par un titre rop explicite. « Quand vous lirez ceci, je serai déjà morte », a-t-elle écrit.

L’influenceuse cameorunaise raconte dans son message qu’elle a vécu une vie sans trop de regrets et qu’elle ne tient personne responsable de ses agissements. Peut-être est-ce une façon pour elle de calmer ses fans en leur faisant comprendre que sa décision de s’ôter la vie émane de son vouloir.

Cependant, ces dernières storys Instagram laisse entrevoir une souffrance créée par le rejet et les incomprehénsions. Derrière la personne joviale qui aimait partager sa bonne humeur sur la toile, Brenda Biya souffrait en silence. Pour le moment, l’information n’a pas encore été confirmée. Nous espérons qu’il ne s’agit que d’un bad buzz.

Une lettre qui est le reflet d’une douleur silencieuse

Voici le message que Brenda Biya a partagé : « Quand vous lirez ceci, je serai morte. La vie est trop courte, vivez-la à fond. Je vivrai sans regrets. J’ai juste vécu une vie différente, j’aurais aimé vivre plus pour moi-même. Mais je veux que certaines personnes soient responsables de leurs actes. Je me suis fait avoir par la vie, par tous ceux qui m’entouraient et par moi-même.

J’ai continué à consommer et à consommer parce que je souffrais. J’ai fini d’essayer. C’est marrant de savoir que tu vas mourir et de réaliser que tu n’as jamais vécu, que tu n’as jamais connu une seule personne dans ta vie.

Mais oui, tu as été poignardé encore et encore et encore. J’ai fait la paix avec les choses. Dans la vie comme dans la mort, j’aurais été un meilleur être humain que la plupart des gens que j’ai connus. Parce qu’ils m’ont aidé à couler, mais pas à nager »