Duchesse de Toronto révèle les secrets de son business de prostitution

Duchesse de Toronto est une jeune femme pleine de ressources qui ne cache pas sa nature au monde entier malgré son statut matrimonial. La jeune nigériane naturalisée canadienne affronte les critiques de la toile avec aisance et indifférence, compte tenu de ses tenues d’Adam exhibées partout sur Instagram.

Mais il y a quelques heures, Priscilla Saidu a.k.a Duchesse de Toronto a affolé la toile avec des révélations gonflée sur ses croyances, mais surtout ses pratiques lorsque son business de prostitution perd du pied.

“Dieu sait que je dois payer cette facture” Duchesse de Toronto se confie

Il y a des sujets sensibles sur la toile qu’il est difficile d’aborder, notamment lorsque les paroles ne sont pas très cohérentes. Mais la Duchesse de Toronto ne semble pas effrayée par les incidences que peuvent avoir ses paroles sur la toile puisqu’elle assume fièrement son activité inhabituellement assumé. En effet, dans un podcast sur Hawt Mic diffusé sur YouTube, la jeune Canadienne a affirmé fièrement qu’elle touche jusqu’à 5 000 dollars par nuit avec son business de prostitution.

Mais le plus choquant n’est pas la somme faramineuse que se fait l’actrice, mais les révélations qui ont suivi. « Je prie, je jeûne, et lorsque je veux me livrer à l’arnaque, parfois lorsque je ne trouve pas de travail, je prie Dieu. Je me dis : Dieu, tu sais que je dois payer cette facture, tu sais que je suis ta fille, ce n’est pas ce que tu as prévu pour moi, mais c’est une arnaque, tu m’as créée, je n’ai pas d’autre choix. Je suis quelqu’un qui a la grâce, je suis une personne privilégiée. Avant la fin de la journée, ils n’ont qu’à m’appeler (…) », a déclaré la Duchesse de Toronto.

Elle a surtout ajouté : « Je fais toujours la charité en ligne en guise de dîme, je ne donnerai jamais ma dîme à l’église. » Selon la jeune femme de 30 ans, la prostitution est une activité facile pour la femme, surtout que la Duchesse de Toronto s’est retrouvé dans ce business pour créer un empire. Elle au moins elle prie, pas comme Shugartiti qui est traité de « Mami wata ».Voilà qui est dit !